Lorsque
"Alias"
repartira
pour sa
quatrième
saison
en
janvier,
les fans
vont
pouvoir
remarquer
de
grands
changements.
S’étant
éloigné
de la
série la
saison
précédente,
qui a vu
le
déclin
du taux
d’audience
de 9
pourcents,
le
créateur
de la
série
J.J.
Abrams
fera
retrouver
à la
série
son
essence
originelle.
A savoir
que
Sydney
devrait
de
nouveau
jongler
entre
ses deux
vies en
temps
qu’
espionne
internationale
et de
jeune
femme
normale
d’une
vingtaine
d’années.
"Nous
sommes
allés si
loin
dans les
mystères
de
Rambaldi
et du
Convenant
que nous
avons
perdu de
vue
certaines
choses
qui ont
fait que
nous
sommes
tombés
amoureux
de la
série
[au
début].",
dit le
président
de ABC
entertainment,
Stephen
McPherson,
à TV
Guide
Online.
"J.J.
est sur
le point
de
ramener
une
partie
de la
joie
qu’il a
eu dans
sa vie
personnelle
récemment...
tout en
continuant
à vivre
dans ce
monde de
fous..."
Abrams
raconte
qu’il a
eu une
révélation
à propos
de
l’incompréhension
sur la
troisième
saison
de
"Alias"
pendant
qu’il
travaillait
sur le
pilote
du
prochain
thriller
de ABC,
"Lost".
"S’en
aller
réaliser
"Lost"
m’a
permis
de
regarder
"Alias"
d’une
manière
que je
n’aurais
pas pu
faire
autrement,
"de
l’extérieur",
nous
raconte-t-il.
"Et
c’était
comme
une
incroyable
lumière.
J’ai
soudainement
compris
dans mon
coeur ce
que je
voulais
et ce
que je
ne
voulais
pas". Et
j’ai vu
ce qui
allait
arriver.
Non, que
je
n’étais
pas fier
de ce
qu’il
s’y
passait,
mais
j’ai pu
voir
certaines
erreurs
que j’ai
faites
et je me
suis dit
: "Oh
mon Dieu
!".
C’était
comme
rentrer
à la
maison
et
regarder
le match
à la
télé
"Cela
vous
donne
cette
perspective
que vous
n’avez
pas
lorsque
vous le
jouez",
ajoute-t-il.
J’ai
aujourd’hui
une
connaissance
de la
série
que je
n’ai
jamais
eue
auparavant".
En
attendant,
Abrams,
à la
différence
des
fans,
n’est
pas
irrité
du fait
que ABC
retarde
la
prochaine
saison
jusqu’à
janvier.
"Je les
ai prié
de le
faire",
admet-il,
en nous
faisant
remarquer
que le
lancement
à la
mi-saison
permettra
à son
bébé de
diffuser
ses 20
épisodes
sans
être
interrompu
par des
rediffusions.
"A
chaque
fois que
nous
revenions
après
trois ou
quatre
semaines,
notre
taux
d’audience
retombait,
à chaque
fois."
Le
changement,
cependant,
ne doit
pas être
interprété
comme si
ABC ne
croyait
plus en
la
série,
rajoute-t-il.
"Je suis
d’accord
que vous
pourriez
argumenter
sur le
fait que
la
repousser
en
arrière
en
ferait
une
série
moins
importante
à leurs
yeux,
mais je
pense
plutôt
que
c’est
justement
le
contraire.
S’ils ne
croyaient
pas en
la
série,
ils ne
l’auraient
A)
Reprise
B) Passé
commande
de 20
épisodes
C)
Établi
une
stratégie
afin
d’optimiser
son
potentiel."
"Je ne
pourrais
pas
croire
plus en
la
série",
atteste
McPherson.
"Nous
sommes
sur le
point de
lancer
de
nombreuses
autres
séries
et nous
n’aurions
jamais
pu être
capables
d’avoir
de
l’argent
[dans la
promotion
de
"Alias"].
Ainsi,
nous
avons
senti
que la
meilleure
chose à
faire
était de
la
pousser
jusqu’en
janvier
lorsque
nous les
avions
tous
[les 20
épisodes]
et une
énorme
promotion
avec les
Academy
Awards."
Et si
cette
stratégie
n’emmène
pas plus
de
téléspectateurs
sur la
vague de
l’espionnage,
Jennifer
Garner
n’aura
plus
qu’à
dire
adieu à
sa
collection
de
perruques,
c’est
pas vrai
? Faux,
insiste
McPherson,
il n’y a
pas "une
chance"
que la
quatrième
saison
de
"Alias"
soit la
dernière.
"Ça sera
une
série
qui
rapporte
pour de
nombreuses
années".
Combien
exactement
? lance
Abrams,
précisément
10."
Personne
n’aime
prendre
de coups
de pied
au cul,
sauf
nous
bien
sûr.
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